Un peu de moi !
Est-ce que la criminologie, c'est uniquement axée sur la criminalité ?
Et bien non !
Et bien non !
"La profession de criminologue est fondamentalement axée sur l’humain et la relation d’aide. Elle se déploie à l’intersection à la fois du monde des lois ou de la justice, de la psychologie ainsi que de la sociologie criminelle."
-Ordre des criminologues du Québec
-Ordre des criminologues du Québec
Tout d'abord, j'aimerais vous dire que j'ai un parcours scolaire bien simple, mais ça serait vous mentir. Étant une personne qu'on appelle "multipotentielle", mes intérêts sont multiples et mon besoin de stimulation intellectuelle infini. J'ai donc suivi des cours de droit, beaucoup de cours de psychologie, des cours de criminologie et même des cours de communication.
C'est toutefois dans mes cours de criminologie que ma curiosité a réellement été piquée, un domaine encore peu connu. Cela venait combler ma passion pour la psychologie, le comportement humain, les droits fondamentaux et surtout, comment croire en une deuxième chance et quels étaient les meilleurs moyens pour aider quelqu'un en ce sens. Étant une personne fondamentalement optimiste, je suis d'avis que nous avons tous le potentiel de devenir la meilleure version de nous-même. J'ai donc complété mon baccalauréat en criminologie en 2017, et je me suis tout récemment inscrite à la maitrise en santé mentale.
Depuis la fin de mon bacc, j'ai touché à plusieurs sphères professionnelles. Que ce soit en tant qu'intervenante en maison de transition, ou par la suite plutôt comme gestionnaire d'équipe dans divers milieux, l'humain a toujours été au coeur de mes emplois. J'aime pouvoir être la personne ressource vers qui l'on se tourne tant pour des raisons professionnelles que personnelles.
J'ai ensuite travaillé dans un organisme communautaire venant en aide aux personnes consommant des substances intoxicantes. Ce fut une expérience plus qu'enrichissante qui m'a permise d'ouvrir encore plus mon esprit et mon envie de comprendre et d'aider l'humain.
Finalement, conjointement avec ma pratique privée , j'oeuvre à titre de directrice clinique dans une maison de transition de la ville de Québec. Je veille donc à apporter mon soutien aux intervenantes, à m'assurer que les orientations prises sont adéquates et exemptes de jugement de valeurs, et encore une fois, je leur sers de guide au quotidien.
Je me suis tournée vers la pratique privée car j'étais d'avis qu'en tant que criminologue, mon bagage académique et expérientiel faisait de moi une personne pouvant offrir quelque chose à la société. Il n'est pas faux de dire que les services psychosociaux n'abondent pas présentement, et que les gens dans le besoin sont souvent laissés pour compte sur des listes d'attente interminables. Je voulais donc pouvoir offrir de l'accompagnement à ces personnes qui ne se sentent pas supportées et qui auraient simplement besoin de se laisser aller avec quelqu'un qui saura les accueillir dans leurs besoins.
C'est toutefois dans mes cours de criminologie que ma curiosité a réellement été piquée, un domaine encore peu connu. Cela venait combler ma passion pour la psychologie, le comportement humain, les droits fondamentaux et surtout, comment croire en une deuxième chance et quels étaient les meilleurs moyens pour aider quelqu'un en ce sens. Étant une personne fondamentalement optimiste, je suis d'avis que nous avons tous le potentiel de devenir la meilleure version de nous-même. J'ai donc complété mon baccalauréat en criminologie en 2017, et je me suis tout récemment inscrite à la maitrise en santé mentale.
Depuis la fin de mon bacc, j'ai touché à plusieurs sphères professionnelles. Que ce soit en tant qu'intervenante en maison de transition, ou par la suite plutôt comme gestionnaire d'équipe dans divers milieux, l'humain a toujours été au coeur de mes emplois. J'aime pouvoir être la personne ressource vers qui l'on se tourne tant pour des raisons professionnelles que personnelles.
J'ai ensuite travaillé dans un organisme communautaire venant en aide aux personnes consommant des substances intoxicantes. Ce fut une expérience plus qu'enrichissante qui m'a permise d'ouvrir encore plus mon esprit et mon envie de comprendre et d'aider l'humain.
Finalement, conjointement avec ma pratique privée , j'oeuvre à titre de directrice clinique dans une maison de transition de la ville de Québec. Je veille donc à apporter mon soutien aux intervenantes, à m'assurer que les orientations prises sont adéquates et exemptes de jugement de valeurs, et encore une fois, je leur sers de guide au quotidien.
Je me suis tournée vers la pratique privée car j'étais d'avis qu'en tant que criminologue, mon bagage académique et expérientiel faisait de moi une personne pouvant offrir quelque chose à la société. Il n'est pas faux de dire que les services psychosociaux n'abondent pas présentement, et que les gens dans le besoin sont souvent laissés pour compte sur des listes d'attente interminables. Je voulais donc pouvoir offrir de l'accompagnement à ces personnes qui ne se sentent pas supportées et qui auraient simplement besoin de se laisser aller avec quelqu'un qui saura les accueillir dans leurs besoins.